farioli
21 avr

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Un article de haut vol dans Le Monde intitulé : L’écrivain, l’Amérique et les femmes. C’est l’interview de l’écrivain Douglas Kennedy. Extrait :

Et le fait qu’un homme politique, au début du XXIe siècle, soit obligé de démissionner à cause d’un scandale sexuel, cela vous étonne ?

Pas vraiment. Le puritanisme est ancré dans l’histoire américaine, mais le libertinage aussi. Il faut se souvenir que les deux premières colonies dans ce qui allait devenir les Etats-Unis ont été Jamestown, en Virginie, et Boston, en Nouvelle-Angleterre. Jamestown, c’était Las Vegas avant l’heure. La débauche, les esclaves, le rhum qui coule à flots… Et puis il y avait Boston, où le célèbre théologien protestant Jonathan Edwards (1753-1758) annonçait l’imminence de la fin des temps. Les deux âmes de l’Amérique sont là. De quoi parle le premier grand roman américain, La Lettre écarlate, de Nathaniel Hawthorne ? De sexe, de puritanisme et du rôle des femmes ! D’ailleurs, j’ai choisi de nommer l’héroïne de mon roman, Les Charmes discrets de la vie conjugale, Hannah, en hommage à l’héroïne de Hawthorne….