farioli
21 fév

animals farm.


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On connaît ce jeu : faire traduire un texte à la volée sur le net (Free, Yahoo) pour rire du résultat.
Tant de choses sont dites sur notre époque dans ces traductions aux algorithmes souvent aléatoires.
Une chanson que je fredonne souvent depuis des années : to ramona de Bob Dylan.
Ce texte m’a toujours plu. Et il a fortement été arrosé dans ma jeunesse par la pluie londonienne et l’art y est étrangement lié.
Je pense particulièrement à : Your cracked country lips,
I still wish to kiss,
As to be under the strength of your skin.

Il y a quelque chose de spécial dans ces paroles. Je ne sais comment dire.

Voici les paroles en anglais :

Ramona, come closer,
Shut softly your watery eyes.
The pangs of your sadness
Shall pass as your senses will rise.
The flowers of the city
Though breathlike, get deathlike at times.
And there’s no use in tryin’
T’ deal with the dyin’,
Though I cannot explain that in lines.

Your cracked country lips,
I still wish to kiss,
As to be under the strength of your skin.
Your magnetic movements
Still capture the minutes I’m in.
But it grieves my heart, love,
To see you tryin’ to be a part of
A world that just don’t exist.
It’s all just a dream, babe,
A vacuum, a scheme, babe,
That sucks you into feelin’ like this.

I can see that your head
Has been twisted and fed
By worthless foam from the mouth.
I can tell you are torn
Between stayin’ and returnin’
On back to the South.
You’ve been fooled into thinking
That the finishin’ end is at hand.
Yet there’s no one to beat you,
No one t’ defeat you,
‘Cept the thoughts of yourself feeling bad.

I’ve heard you say many times
That you’re better ‘n no one
And no one is better ‘n you.
If you really believe that,
You know you got
Nothing to win and nothing to lose.
From fixtures and forces and friends,
Your sorrow does stem,
That hype you and type you,
Making you feel
That you must be exactly like them.

I’d forever talk to you,
But soon my words,
They would turn into a meaningless ring.
For deep in my heart
I know there is no help I can bring.
Everything passes,
Everything changes,
Just do what you think you should do.
And someday maybe,
Who knows, baby,
I’ll come and be cryin’ to you.

Voici la traduction automatique :


Ramona, viennent plus étroitement, a fermé doucement vos yeux aqueux. Les douleurs de votre tristesse passeront car vos sens monteront. Les fleurs de la ville bien que le breathlike, obtiennent le deathlike parfois. Et il n’y a aucune utilisation dans le tryin ‘T ‘affaire avec le dyin ‘, bien que je ne puisse pas expliquer cela dans les lignes. Vos lèvres criquées de pays, je souhaite toujours embrasser, quant à sois sous la force de votre peau. Vos mouvements magnétiques capturent toujours les minutes où je suis dedans. Mais elle s’afflige mon coeur, amour, pour vous voir tryin ‘pour être une partie de monde de A qui juste n’existent pas. Elle est toute juste un rêve, bébé, vide de A, un arrangement, le bébé, qui vous suce dans le feelin ‘comme ceci. Je peux voir que votre tête a été tordue et alimentée par la mousse sans valeur de la bouche. Je peux vous dire que sont déchirés entre le stayin ‘et le returnin ‘dessus de nouveau aux Sud. Vous avez été dupé dans penser qu’extrémité du finishin l”est actuelle. Pourtant il n’y a personne pour vous battre, unique t ‘défaite vous, ‘Cept les pensées de vous-même le mauvais de sentiment. Je vous ai entendu dire beaucoup de fois que vous êtes un meilleur ‘n unique et personne n’est un meilleur ‘n vous. Si vous croyez vraiment cela, vous savez que vous n’avez obtenu rien à gagner et rien à perdre. Des montages et des forces et des amis, votre douleur refoule, que l’exagération vous et vous dactylographient, vous faisant l’estimer que vous devez être exactement comme eux. Je vous parlerais pour toujours, mais bientôt mes mots, ils se transformeraient en anneau sans signification. Pour profondément dedans mon coeur je sais qu’il y a aucune aide que je ne peux apporter. Tout passe, tout change, fait juste ce que vous pensez que vous devriez faire. Et un jour peut-être, qui sait, bébé, je viendrai et serai cryin ‘à vous.

La pensée fait ce qu’elle peut face aux énigmes.
Quelques algorithmes aléatoires appliqués. Pas plus.

Conclusion sur ces réflexions simplistes, mais courageuses devant les catastrophes animales qui nous accablent : adieu veaux, vaches, cochons, couvées.

Donc, comme pour les conférences traitant des super cordes ou du gastrocnémien des grenouilles :
Pour l’instant, par rapport à nos connaissances, c’est Tout ce que nos lèvres sur ce monde peuvent dire.