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Le Coryphée — Parlons en hâte.
Imaginez une zone avec des zosios où régnait un air plus léger qu’une bise imaginez cette plaine cette faisance-valoir magnifique hier couverte de colzas transgénétiques en fleur imaginez le blé ondulant sous la brise le parfum de la vigne non atteinte par le flytoxéra toutes les fleurettes décloses dans les prés où y courrait le lapin de garenne sans la maximatose et v’latipas la guerre une espèce de calamité du genre à nous bourrer mou et nous boucher le bourdon qui soudain nous les brise plus de “ cuicui ” ni de coucous plus de serins ni de sizerins plus de belettes le long des blettes plus de lapins dans not’pat’lin plus de Bambi ni de bambinos le beurre rancé dans nos remises imaginez la beauté de l’Ithaque dans les flaques de l’éthique sucée par des tiques aussi gros qu’un mérinos hypertrophié les doctrines d’Epistémon broadcastés par les brigands qui plantent leurs canines dans le Péloponnèse les prouesses de la science qu’usent les faquins naviguant sur l’artimon et les promesses engendrées par la philosophie qui ne change plus ses chemises les mayonnaises antioxygénées pour imprégner la maïeutique les pros de la philanthropie à la petite paimpolaise les prolixes de la prophylaxie les maleficiers du maïs d’Hunahpù et d’Ixbalamqué tous les objets curieux dérivés du pétrole créés pour nous fournir un p’ti paradis et pour lesquels on a banqué toutes les croyances avec leurs médailles leurs broches et les bamboches rien dans les poches imaginez les consciences avant qu’elles s’en aillent en brioches avant l’époque des malheureux enfants du techno boffisme buvallone, celle de l’archaïsme des hyper-civilisés néo-analphabètes, des péteurs d’andouilles vectorielles, des camelots mignons avec leurs écrase-oignons, des borgnes du ciboulot aux gesticulations walkirinesques et puis imaginez n’importe quelle parcelle de temps historique et Vishnu sur l’onde du temps mythique les innombrables gènes mutants des moustiques transportés chez nous par des supersoniques les dieux celtiques tico-par-çi tico-par-là les métalangages des onirocrites débutants et les larmes métalliques des Chopin de tous poils les reluquants feudataires sinuant au long des jambes des bourlingueuses épilées par leurs retardataires les harmoniums dénichés entretenus à la cire d’abeille donnés en gage aux hypocrites jacassant dans les tournevires les shampooings anti-poux versés à contre-poil sur les brigueurs de Minidoux toutes les peines de ceux à qui l’on a bourré le mou crevé les veines ou grillé les cartilages ceux en bas âges qu’on dilacère de Grosny jusq’à Rio Janère et le cœur dépité de la belle Angélique princesse du Cathay dans l’Orlando Furioso ne parlons pas des pigments acides du curioso André Roublev et ce prestigieux Roller boat créé par Peter Beckmann en 1898 et les fameux éternuements avant qu’il ne crève de Sir Alec Rose battant en retraite devant le peuple Massaï et le dénuement des volailles de ceux qu’on affame parce qu’on leur a fichu des nécroses. Et maintenant, imaginez la suite.