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Et voilà…, pour la milliardième fois…, c’est bon !, on nous refera pas encore le coup du vieux facho : Cet amoncellement de valises et de statues bizarroïdes.
C’est l’Humanité, ici, qui rend à l’art ce qu’il lui revient dans un article correct, mais tendancieux. Si l’art, dénonce la société libérale il sauvé ! L’ennemi des représentants « indigents » de la société libérale doivent-il considérer comme de la merdre tout art qui sous entendrait une admiration de la dite société ? L’art doit-il être réduit à une rébellion ou une rouspétance alors qu’il a été, des millénaires durant, une célébration? Quell’ dèche mon empereur ! Passons la monnaie et revenons au problème basique de la fusion conne entre le genre et le particulier.
La peinture pompière a-t-elle mis la réalité de l’art en question ? Tel peinturlureur du 18e siècle a-t-il signé par ses croûtes la fin de l’art ?
L’art est vivant parce qu’il y a toutes sortes de productions en ordre et dispersées. C’est pas parce qu’il a de quoi boire et manger que c’est la famine ! Avant d’acquérir une valeur mythologique telle oeuvre devra sortir vivante des filtres par lesquels elle va ou non traverser le temps. Tant d’usines à filtrer le sel ! Tant d’anonymat dans les poubelles de l’histoire qui n’ont pas encore acquis le privilège du traitement sélectif des déchets !
Lapalissade graphitée : une œuvre actuelle, quelle qu’elle soit (fût ?), même si son statut d’œuvre peut être remise en question par la critique ne change ne rien l’inaltérabilité de l’art actuel. A moins de sous-entendre que notre époque n’est pas capable de produire des œuvres d’art, ce qui serait d’une stupidité de poutrefougre qui croit avoir chié la colonne. C’est sûr, lorsque le sale carcan a accroché une pissotière , y’a pas à tortiller des fesses il a fait la messe au diable et aux varices. Conclusion et lapalissade graphitée : l’art de notre époque est un art de notre époque.
Bon, faites machiner la coloquinte.
La peinture pompière a-t-elle mis la réalité de l’art en question ? Tel peinturlureur du 18e siècle a-t-il signé par ses croûtes la fin de l’art ?
L’art est vivant parce qu’il y a toutes sortes de productions en ordre et dispersées. C’est pas parce qu’il a de quoi boire et manger que c’est la famine ! Avant d’acquérir une valeur mythologique telle oeuvre devra sortir vivante des filtres par lesquels elle va ou non traverser le temps. Tant d’usines à filtrer le sel ! Tant d’anonymat dans les poubelles de l’histoire qui n’ont pas encore acquis le privilège du traitement sélectif des déchets !
Lapalissade graphitée : une œuvre actuelle, quelle qu’elle soit (fût ?), même si son statut d’œuvre peut être remise en question par la critique ne change ne rien l’inaltérabilité de l’art actuel. A moins de sous-entendre que notre époque n’est pas capable de produire des œuvres d’art, ce qui serait d’une stupidité de poutrefougre qui croit avoir chié la colonne. C’est sûr, lorsque le sale carcan a accroché une pissotière , y’a pas à tortiller des fesses il a fait la messe au diable et aux varices. Conclusion et lapalissade graphitée : l’art de notre époque est un art de notre époque.
Bon, faites machiner la coloquinte.
