farioli
12 nov

La science sans conscience au service de l’église


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Voilà le plus réac des papes qui met  une lichette d’eau bénite sur la Science, mieux, sur la cosmogonie.

Le degré du discours c’est pour les gogos et les bigots(es) de l’occiput :

 Extrait  lu dans Eucharistie MiséricordieuseAffirmer que le fondement du cosmos et ses développements se trouvent dans la sagesse providentielle du Créateur ne veut pas dire que la création a uniquement à voir avec le commencement de l’histoire du monde et de la vie. Cela implique plutôt que le Créateur fonde ces développements et les soutient, les étaie et les maintient constamment. Thomas d’Aquin pensait que la notion de création doit transcender l’origine horizontale du déploiement d’événements, qu’est l’histoire, et par conséquent toutes nos manières purement naturalistes de penser et de parler de l’évolution du monde. Thomas observe que la création n’est ni un mouvement ni une mutation. C’est en revanche la relation fondatrice et continue qui lie la créature au Créateur, car il est la cause de tout être et de de tout devenir (cf. Summa theologiae, I, q. 45, a. 3) :