farioli
21 fév

Bouffer du fric


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kaguyaterre_l

Article sur le Financial Art…sur le site  liberté politique.com 

Il y aurait beaucoup à dire sur cet art financiarisé et les décos pour milliardaires. 

Notre analyse est que le vieux premier monde n’a d’Art que celui d’un vieux monde.

L’art est au capitalisme ce que la musique militaire est à la musique.

Quel enfermement lorsqu’on ne peut imaginer un autre but que la culture liée à l’argent.

La célèbre phrase des indiens d’Amérique  vient à point nommé dans cette période de susceptible (peu probable) effondrement :

“Quand le dernier arbre aura été coupé
Quand la dernière rivière aura été empoisonnée
Quand le dernier poisson aura été pêché
Seulement après tout ça
Vous vous apercevrez que l’argent ne se mange pas !”

 

  Voici un extrait de l’article : Existe-t-il un art qui ne soit pas un “Financial Art” ? :

… Aujourd’hui nous assistons à la crise de cette morale mercantile : on ferme. Fermeture des foires à Shangaï et à Moscou, de galeries renommées comme à Soho, la galerie Guild & Greyshkul (fermée définitivement le 15 février). New York, la ville phare de la création depuis 1945 fait triste mine. C’est un fait, cette morale de la réussite s’effondre. Certains disent qu’elle collait trop avec l’époque, trop bling bling. Un espace se dégagerait-il alors pour d’autres postures ? Contempler une œuvre d’art, la juger pour elle-même, sans être qualifié d’apolitique, de passéiste, de nostalgique, de quelqu’un « qui n’a pas réussi » au pays de la réussite, redeviendrait possible ? 

Avec la crise des initiatives apparaissent à Paris comme la création de la FID [2] pendant la semaine du dessin. Elles sont fragiles comme tout ce qui naît dans un pays où l’art officiel pèse de tout son poids. Seront-elles repérées et soutenues par des media ? Le moment est intéressant. Il faudra choisir entre la com et faire des pas de côté. Entre le territoire de l’art et celui de l’État …