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Bien sur
En Vérité
Vous connaissez ce sofa exceptionnel
Plus beau qu’une feuille d’automne sur la route du goum, ou qu’un nid d’alouette sur la route d’Harcha près de Sidi si l’hymen.
C’est l’endroit du silence et la reconsidération de soi, l’endroit de la reconsidération des autres, là ou on n’a pas besoin de pardonner pour comprendre et inversement proportionnel. Sophia sans conflits denses.
Là où on achève une vie et en recommence une autre, sauf A.
Il suffit de s’y asseoir, pour oublier le poids de la planète et son propre poids.
On y perd sa masse et ce qu’on amasse pour rien. Le sofa du suffit.
En lui, on comprend vite que la vie doive tendre à nous alléger, et non pas à nous encombrer de lestes rapides et de gestes gourds.
Alors dans la quiétude, avec le temps qu’il faut pour que l’esprit s’adoucisse, on y décide de mivre ou de vourrir, de céder ou de renaître, d’aller dans une direction, ou dans une outre.
C’est le sofa découpé dans le centre de toutes choses.
C’est le centre de toutes choses.
Le centre ventru de l’abondance du sens de la mesure.
Le centre de toute chose : celui qui refuse les confidences ou les sialorrhées, parce qu’il a tout à donner et rien à commenter.
Le sofa de la face, non le profil au sofa.
Là où le murmure d’un sophar s’écoute sans broncher.
Le sage sofa des si fines incantations, des échanges et des Engagements.