Warning: file_exists() [function.file-exists]: open_basedir restriction in effect. File(/mnt/124/free.fr/e/8/catastrophy.b/wordpress/wp-content/plugins/image-shadow/cache/b23a8588f8b5c1819c8e0142cf386fcd.jpg) is not within the allowed path(s): (/mnt/109/sdb/e/8/catastrophy.b) in /mnt/109/sdb/e/8/catastrophy.b/wordpress/wp-content/plugins/image-shadow/image-shadow.php on line 198
Voyons. Si l’on se pose le problème de la connaissance de l’ensemble de la mémoire des vols de mouches, il y aurait bien des choses à définir, à commencer par : qu’est-ce que cette connaissance ?
Et puis, c’est toujours la même question qui demande la présence du petit diable de Maxwell. Dans le cas posé cette présence ne suffit pas. Qu’est-ce qu’une mouche ? Á partir de quelles données peut-on dire que l’être vivant et volant, dont il serait ici question de mémoriser le vol (vols de l’ensemble de tous ceux qui compose cette espèce), est bien une mouche ? La réponse est simple pour un enthomologiste, mais complexe pour un philosophe. L’histoire de la poule et de l’œuf revient sur le tapis. Maintenant que les hypothèses ont été développées et qu’on sait que cette mémoire de tous les vols de mouches ne semble pas être à l’ordre du jour, on peut se demander s’il serait utile de se souvenir de tous les sourires des femmes.
Serait-il d’utilité publique de faire cette recherche et d’y inclure les variantes du pourquoi elles ont souri ?