farioli
29 mai

Âne


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  Après qu’ils « aient » lu mes  textes les lecteurs du Deuxième Monde s’en seront aperçus :

Sur la langue, comme un mot, je ne suis pas un puriste.  Par conséquent, un  iconoclaste comme ma paume, ayant eu une mauvaise éducation dans les ruelles d’Ajaccio, mon or trop grave, gravissime même, laisse à désirer (à rejeter). Mon style n’a que le nom (et encore !) même s’il semble rutilant en surface.

 Mon idée de la langue est la suivante :  sans importance que la communication, la précision de la pensée et du corps. J’imagine que la télépathie serait magnifique pour la poésie. Cependant la lourdeur rampante (toujours) du langage dégage les arêtes de poissons  aux yeux glauques  de merlans free (pas un pareil) achetés un prix pas cher au marché bien achalandé du côté de la place des palmiers.

 

Le langage c’est le deuil de la pensée. Un rituel à respecter dans le fond, mais la forme doit être (pour la pamoison de la raison) aussi vivante que le rendent  possible les neurones. Allez !, une bonne petite leçon (il va falloir scanner vos textes) sur AgoraVOx  :

Voilà quelque temps déjà que je m’étais dit que je jouerais aux gros bras, au savant malin et que j’en remonterais à bien des gens. En fait je ne suis pas si savant que cela, mais je vais vous entretenir de mots, prépositions et tournures françaises qui me hérissent le poil bien que je ne sois garant de rien du tout et que je commette comme disent les astronomes, bien des fautes aussi. C’est en cela que je me rapproche des politiques : donner des leçons quand soi-même on est un beau bâton merdeux…